vendredi 28 avril 2017

Une arme redoutable pour l'amélioration de la gestion de votre entreprise : Le benchmarcking

avril 28, 2017 1
Une arme redoutable pour l'amélioration de la gestion de votre entreprise : Le benchmarcking


 Le benchmarking

DĂ©finition
 La notion de benchmarking est plus connue Ă  travers l’expression « meilleures pratiques ».

Le benchmarking est un outil puissant qui aide les entreprises Ă  s’amĂ©liorer dans tous les domaines. C’est une technique marketing qui consiste Ă  trouver dans le monde celui ou ceux qui rĂ©alisent de la manière la plus performante un processus ou une tâche, aller les Ă©tudier et adapter ensuite ce processus Ă  sa propre entreprise.
Les intérêts du Benchmarking

 • Satisfaire le client, rĂ©pondre aux exigences rĂ©elles du marchĂ© (ne pas se contenter d’analyse interne),
 • AmĂ©liorer les performances en se fixant des objectifs efficaces et crĂ©dibles (Ă©viter les extrapolations Ă  partir d’expĂ©riences ou tendances passĂ©es),

• Devenir ou rester compĂ©titif : comprendre la concurrence et les raisons de ses performances (qualitĂ©, coĂ»t, dĂ©lai…),
 • DĂ©couvrir les meilleures mĂ©thodes et pratiques qui ont fait leurs preuves ailleurs,
• Identifier ses points forts (et Ă  les dĂ©velopper encore) et ses faiblesses afin de les transformer en opportunitĂ©s d’amĂ©lioration,
 • Faciliter la conduite du changement. La mise en place de toute action de benchmarking dĂ©bouchera naturellement sur une combinaison quelconque de ces avantages.
 Les diffĂ©rents types de Benchmarking

 Il existe 4 types de benchmarking dĂ©finis de la façon suivante :
1. Le benchmarking interne : comparer ses opĂ©rations Ă  d’autres opĂ©rations similaires Ă  l’intĂ©rieur de l’organisation.
2. Le benchmarking concurrentiel : se comparer au meilleur des concurrents sur le marchĂ©, porteurs de rĂ©elles sources d’amĂ©liorations intĂ©ressantes.
3. Le benchmarking fonctionnel : comparer des fonctions similaires, dans des entreprises non concurrentes, Ă  l’intĂ©rieur d’un mĂŞme secteur d’activitĂ©.
 4. Le benchmarking gĂ©nĂ©rique : comparer ses pratiques, ses mĂ©thodes de travail avec celles de l’organisation d’un secteur totalement diffĂ©rent.
La méthodologie du Benchmarking
Elle se déroule en 10 étapes réparties en 4 phases :
* La planification
1 - Identifier les sujets du benchmarking
 2 - SĂ©lectionner les partenaires du benchmarking
3 - DĂ©terminer les moyens de collecte d’informations et collecte proprement dite
* L’analyse
4 - DĂ©terminer les Ă©carts
 5 - Projeter les niveaux de performance futurs
        L’interprĂ©tation
6 - Communiquer les rĂ©sultats de l’analyse
 7 - Etablir les objectifs fonctionnels
*L’action
 8 - DĂ©velopper un plan d’action
9 - Mise en œuvre et mesure des progrès
10 - RĂ©ajustement du benchmarking

Le juste Ă  temps ou "ZERO STOCK"

avril 28, 2017 0
Le juste Ă  temps ou "ZERO STOCK"

Le juste Ă  temps ou « zĂ©ro stock »

Beaucoup d’entreprises s’y penchent dĂ©sormais, de plus en plus d’entreprises utilisent la mĂ©thode du juste Ă  temps, appelĂ©e Ă©galement « zĂ©ro stock ».

 L’entreprise qui pratique le juste Ă  temps attendra de recevoir la commande du client pour s’approvisionner. On rencontre ce cas notamment dans l’industrie automobile.
DĂ©sormais, quand quelqu’un achète une voiture chez un concessionnaire, il n’en dispose pas tout de suite. Il faut d’abord la commander car la sociĂ©tĂ© ne l’aura pas en stock dans la majoritĂ© des cas. Utiliser cette mĂ©thode de gestion des stocks est avantageux pour l’entreprise car elle permet de rĂ©duire considĂ©rablement le coĂ»t de stockage, voire mĂŞme de le supprimer entièrement. De plus, la mĂ©thode du juste Ă  temps limite le gaspillage et amĂ©liore la qualitĂ© des produits finis.

Dans le contexte des pays en développement, est-il possible de pratiquer la méthode du juste à temps ?

vendredi 21 avril 2017

Mieux connaitre "Les Liner Terms"

avril 21, 2017 0
Mieux connaitre "Les Liner Terms"
« LINER TERMS » DĂ©finition « Liner » dĂ©signe un navire de ligne rĂ©gulière et « terms »s signifie conditions contractuelles applicables au transport maritime. On entend donc par Liner terms les conditions de passage portuaire appliquĂ©e par les compagnies maritimes ou aussi les conditions de connaissements maritimes de lignes rĂ©gulières. RĂ´le Les liner-terms prĂ©cisent comment s’entendent les taux de fret, confĂ©rence par confĂ©rence, tout en respectant les usages des ports. Ils ne dĂ©finissent que les règles de partage des frais de manutention intervenant dans le pĂ©rimètre du navire. Les « LINER TERMS » correspondent donc Ă  la rĂ©partition des frais entre le chargeur et le transporteur maritime. Le transfert de responsabilitĂ© correspond au transfert des frais. Les liners terms sont au nombre de 3 et combinables entre eux entre le chargement et le dĂ©chargement : QUAI, SOUS-PALAN et BORD. QUAI/QUAI (Full liner terms) Le quai est l’espace sur lequel est concentrĂ©e la marchandise destinĂ©e Ă  embarquer sur un mĂŞme navire. La livraison des marchandises se dĂ©roulant sur plusieurs jours ou semaines, pour des raisons Ă©videntes cette zone exclue le bord de l’eau qui est rĂ©servĂ©e aux manutentions des navires en cours de chargement. A destination la marchandise est placĂ©e sur le terminal, Ă©loignĂ© du bord de l’eau. SOUS-PALAN/SOUS-PALAN (HOOK-HOOK) Cette zone correspond Ă  la proximitĂ© immĂ©diate du navire. Les marchandises placĂ©es sur cette zone ne doivent plus ĂŞtre dĂ©placĂ©es pour ĂŞtre mise Ă  bord. A destination, la marchandise est mise Ă  disposition du destinataire, le long du navire. BORD/BORD (FREE IN OUT) Au chargement, la marchandise est placĂ©e dans ou sur le navire. Au dĂ©chargement, la marchandise est prise sur ou dans le navire. QUAI Au chargement, pour un Liner Terms Quai, l’armateur prend en charge la marchandise sur le terminal. Cela signifie que l’armateur prendra en charge tous les frais correspondant Ă  la reprise de la marchandise sur le terminal, le rapprochement du navire, le hissage, la mise Ă  bord, le placement Ă  bord, le calage, le saisissage. Au dĂ©chargement les frais sont les mĂŞmes et peuvent s’y rajouter des frais de magasinage, voir de gardiennage. SOUS-PALAN Au chargement, pour un Liner Term Sous-Palan, l’armateur prend en charge tous les frais correspondant Ă  la prise de la marchandise le long du navire, le hissage, la mise Ă  bord, le placement Ă  bord, le calage, le saisissage. Au dĂ©chargement la marchandise est rendue le long du navire. BORD Le chargeur prend en charge la mise Ă  bord de la marchandise. Au dĂ©chargement le chargeur prend en charge la marchandise sur ou dans le navire. Sauf stipulation contraire, l’arrimage, le calage, le saisissage et/ou le dĂ©sarrimage sont Ă  la charge de l’armateur. REMARQUES Chaque armateur Ă  la libertĂ© de prĂ©ciser certaines parties des Liner terms. • QUAI et SOUS-PALAN, dans le cas de marchandise prĂ©sentant des spĂ©cificitĂ©s rendant complexe la manutention, l’armateur peut demander que les matĂ©riels spĂ©ciaux nĂ©cessaire Ă  la manutention soient fournis par le chargeur. Si c’est le cas il est d’usage d’indiquer en complĂ©ment les charges facturables au cas oĂą au moment du chargement les apparaux de manutention ne seraient pas disponible rendant nĂ©cessaire l’immobilisation du navire. • SOUS-PALAN l’accrochage ou non de la marchandise au palan, dans le sous-palan peut ĂŞtre prĂ©cisĂ©. • Pour un meilleur contrĂ´le du temps imparti au chargement les armateurs en ligne rĂ©gulière ont une prĂ©fĂ©rence pour un Liner term Quai au chargement. Toutefois dans le cas de dossier ou la manutention de chargement reprĂ©sente un risque pour la marchandise il est vraisemblable que l’armateur exigera un Liner Term BORD. • Dans une vente Quai ou Sous-Palan, l’armateur peut facturer des PLTC, (Port Liner Terminal Charge), c'est-Ă -dire le coĂ»t de la manutention de mise Ă  bord

mercredi 12 avril 2017

Comprendre les incoterms pour une meilleure performance

avril 12, 2017 0
Comprendre les incoterms  pour une meilleure performance
Les incoterms (international commercial terms)ICC 2010 Les Incoterms dĂ©terminent les obligations rĂ©ciproques du vendeur et de l'acheteur dans le cadre d'un contrat d'achat/vente international. DĂ©finition InCoTerms. Il s'agit d'une abrĂ©viation anglo-saxonne de l'expression «International Commercial Terms», signifiant «termes du commerce international» et traduite en français par «C.I.V.» ou «conditions internationales de vente». Les Incoterms rĂ©sultent d'une codification des modalitĂ©s d'une transaction commerciale mise en place par la Chambre de Commerce Internationale. Chaque modalitĂ© est codifiĂ©e par trois lettres et est indissociable du lieu de livraison auquel elle s'applique. Le but des Incoterms est de fournir une sĂ©rie de règles internationales pour l’interprĂ©tation des termes commerciaux les plus couramment utilisĂ©s en commerce extĂ©rieur. Ces termes dĂ©finissent les obligations du vendeur et de l'acheteur lors d'une transaction commerciale, le plus souvent internationale, mais qui peut Ă©galement s'Ă©tablir entre des opĂ©rateurs nationaux ou communautaires. Ils concernent essentiellement les obligations des parties Ă  un contrat de vente, en ce qui concerne la livraison de la marchandise vendue, la rĂ©partition des frais et des risques liĂ©s Ă  cette marchandise, ainsi que la charge des formalitĂ©s d'export et d'import. Incoterms et formalitĂ©s douanières L’Incoterm traduit la rĂ©partition des rĂ´les entre fournisseur et acheteur, ce qui n’est pas sans incidence sur la mise en oeuvre de l'amendement sĂ»retĂ© du code des douanes communautaire au travers d'ICS et ECS. Dans le cadre de la communication de ces donnĂ©es sĂ»retĂ©-sĂ©curitĂ©, les Incoterms proposent une rĂ©ponse utile Ă  la question cruciale du "qui fait quoi". De plus, les Incoterms sont aussi, indirectement, des outils d'optimisation des règles de la valeur en douane, contribuant au soutien de la performance Ă©conomique des opĂ©rateurs du commerce international. La rĂ©forme des Incoterms 2010 Les nouvelles règles des Incoterms 2010 sont entrĂ©es en vigueur le 1er janvier 2011. Cette rĂ©forme a supprimĂ© quatre termes au profit de deux nouveaux termes. les termes DAF (Delivered At Frontier), DES (Delivered At Ship), DDU (Delivered Duty Unpaid) ont Ă©tĂ© remplacĂ©s par le terme DAP (Delivered At Place). le terme DEQ (Delivered Ex Quay) a Ă©tĂ© remplacĂ© par le terme DAT (Delivered At Terminal). DĂ©sormais ces termes commerciaux sont donc au nombre de onze, rĂ©partis entre deux familles: les termes utilisables pour le transport par mer et par voies navigables intĂ©rieures, les termes utilisables quel que soit le mode de transport. Quelques modifications touchent par ailleurs les termes FOB, CFR et CIF, pour lesquels la notion de « passage de bastingage » a disparu, ainsi que le terme DDP, qui recouvre dĂ©sormais une nouvelle rĂ©partition des certains frais. Afin d'Ă©viter toute confusion, le choix des nouvelles règles 2010 devra ĂŞtre prĂ©cisĂ© par la mention de l'Incoterm, accompagnĂ©e de la date «2010» et de l'adresse de livraison la plus prĂ©cise possible (il pourra par exemple s'agir d'une rue et d'un numĂ©ro). Les Incoterms du transport par mer et par voies navigables intĂ©rieures FAS ou Free Alongside Ship (Franco le long du navire) Le vendeur règle les frais de transport jusqu'au port d'embarquement et effectue les formalitĂ©s d'exportation, acquitte les frais, droits et taxes liĂ©s Ă  ces formalitĂ©s. La marchandise est livrĂ©e le long du navire dans le port d'embarquement: cette livraison marque le transfert de risques et de frais. L'acheteur supporte les coĂ»ts de chargement, le transport maritime, les coĂ»ts de dĂ©chargement et de transport du port de destination jusqu'Ă  ses lieux d'activitĂ©. FOB ou Free On Board (Franco Ă  bord) La marchandise est livrĂ©e sur le navire dĂ©signĂ© par l'acheteur. Aux termes des règles 2010, la notion de passage de bastingage qui matĂ©rialisait jusqu'alors le transfert de risque a disparu. DĂ©sormais, le transfert de risque et de frais s'opère quand la marchandise a Ă©tĂ© livrĂ©e sur le navire. Le vendeur règle les frais de transport jusqu'au port d'embarquement, ainsi que les frais de chargement et effectue les formalitĂ©s d'exportation, acquitte les frais, droits et taxes liĂ©s Ă  ces formalitĂ©s. CFR ou Cost and Freight (CoĂ»t et fret) Le transfert de risque s'opère lorsque les marchandises sont livrĂ©es Ă  bord du bateau dans le port d'embarquement. Le vendeur assume de plus les frais de transport jusqu'au port de destination et les frais de chargement, il effectue les formalitĂ©s d'export et paie les droits et taxes liĂ©s. L'acheteur endosse les frais Ă  partir de l'arrivĂ©e des marchandises au port de destination, effectue les formalitĂ©s Ă  l'import et acquitte les droits et taxes liĂ©s. CIF ou Cost, Insurance and Freight (CoĂ»t, assurance et fret) Le transfert de risque s'opère lorsque les marchandises sont livrĂ©es Ă  bord du bateau dans le port d'embarquement. Le vendeur assume de plus les frais de transport et d'assurance jusqu'au port de destination et les frais de chargement, il effectue les formalitĂ©s d'export et paie les droits et taxes liĂ©s. L'acheteur endosse les frais Ă  partir de l'arrivĂ©e des marchandises au port de destination, effectue les formalitĂ©s Ă  l'import et acquitte les droits et taxes liĂ©s. A noter : Ces quatre termes sont inappropriĂ©s lorsque les marchandises sont remises au transporteur prĂ©alablement Ă  leur placement le long du navire (incoterm FAS) ou Ă  leur mise Ă  bord du navire (incoterm FOB, CFR et CIF). Il s'agit, par exemple, de la situation des marchandises placĂ©es dans des conteneurs qui sont typiquement livrĂ©es Ă  un terminal. Dans ce cas, il est prĂ©fĂ©rable d'utiliser l'incoterm FCA en lieu et place des incoterms FAS et FOB. De mĂŞme, les incoterms CIF et CFR pourront ĂŞtre respectivement remplacĂ©s par les incoterms CIP et CPT. Les termes en C prĂ©sentent la caractĂ©ristique de prĂ©voir un transfert de risque Ă  un point diffĂ©rent du transfert des frais: alors que les risques sont transfĂ©rĂ©s Ă  l'acheteur lors de la livraison (placement Ă  bord), le vendeur acquitte les frais de transport (CFR) ou de transport et d'assurance (CIF) jusqu'au port de destination. Les deux points doivent donc ĂŞtre clairement identifiĂ©s dans le contrat. Les Incoterms utilisables pour tous les types de transports EXW ou Ex-Works (A l'usine) La marchandise est disponible dans les locaux du vendeur Ă  une date fixĂ©e. L'acheteur organise et paie le transport. Il en supporte aussi les risques jusqu'Ă  la destination finale des marchandises. Les formalitĂ©s et frais d'exportation et d'importation, ainsi que les droits et taxes liĂ©s Ă  ces deux opĂ©rations sont Ă©galement Ă  la charge de l'acheteur. FCA ou Free Carrier (Franco transporteur) Le vendeur remet les marchandises au transporteur dĂ©signĂ© et payĂ© par l'acheteur. Le transfert de risques est matĂ©rialisĂ© lors de cette opĂ©ration. Les formalitĂ©s et frais d'exportation, ainsi que les droits et taxes liĂ©s, sont Ă  la charge du vendeur. L'acheteur endosse le transport jusqu'Ă  ces lieux d'activitĂ©, effectue les formalitĂ©s Ă  l'import et acquitte les droits et taxes liĂ©s. CPT ou Carriage Paid To (Port payĂ© jusqu'Ă ) Le vendeur assume les frais du transport maritime jusqu'au port de destination. Le transfert de risque est Ă©tabli lorsque les marchandises sont mises Ă  la disposition du premier transporteur. Ainsi, les frais d'assurance sont Ă  la charger de l'acheteur. CIP ou Carriage and Insurance Paid To (Port payĂ©, assurance comprise, jusqu'Ă ) Les conditions sont les mĂŞmes que pour CPT. Le vendeur doit fournir une assurance couvrant pour l'acheteur, le risque de perte ou de dommage que la marchandise peut courir pendant le transport. DDP ou Delivered Duty Paid (Rendu droits acquittĂ©s) Les marchandises sont livrĂ©es au lieu de destination, prĂŞtes Ă  ĂŞtre dĂ©chargĂ©es, alors que le vendeur a effectuĂ© le dĂ©douanement Ă  l'export et Ă  l'import et acquittĂ© les droits et taxes liĂ©s Ă  ces opĂ©rations. En principe, l'acheteur endosse les frais de dĂ©chargement, sauf si le contrat stipule que ce dĂ©chargement est Ă  la charge du vendeur. Parallèlement, l'acheteur n'a aucune obligation de prendre en charge les coĂ»ts d'inspection, tandis que le vendeur paie les frais des inspections avant expĂ©dition exigĂ©es par les autoritĂ©s du pays d'exportation ou d'importation. La version 2000 du terme DDP prĂ©voyait que l'acheteur prenait en charge toutes les inspections Ă  l'exception des opĂ©rations « diligentĂ©es » par les autoritĂ©s du pays d'exportation. Les deux nouveaux termes 2010 DAT ou Delivered At Terminal (Rendu au terminal, terminal de destination convenu) Ce terme remplace le terme DEQ. Outre le transport principal, le vendeur organise et paie le dĂ©chargement de la marchandise au point de destination et son acheminement jusqu'au terminal convenu. Le transfert de risque est effectif lorsque la marchandise a Ă©tĂ© mise Ă  la disposition de l'acheteur au terminal convenu. L'acheteur effectue les formalitĂ©s d'importation et acquitte les droits et taxes dus en raison de l'importation. DAP ou Delivered At Place (Rendu au lieu de destination convenu) Ce terme remplace les termes DAF, DES et DDU. Le vendeur prend en charge le transport des marchandises jusqu'au point de livraison convenu, donc il assume les coĂ»ts et les risques jusqu'Ă  ce point. Les marchandises sont mises Ă  disposition de l'acheteur Ă  destination sur le moyen de transport, sans ĂŞtre dĂ©chargĂ©es. L'acheteur organise le dĂ©chargement, effectue les formalitĂ©s d'importation et acquitte les droits et taxes dus en raison de l'importation. Les quatre termes 2000 qui disparaissent Quatre Incoterms ne sont pas repris dans les règles 2010. La Chambre de Commerce Internationale recommande de les remplacer par les deux nouveaux termes : DAF, DES et DDU peuvent ĂŞtre remplacĂ©s par DAP, DEQ peut ĂŞtre remplacĂ© par le DAT. NĂ©anmoins, il reste possible de continuer d'utiliser les termes anciens. En effet, les règles Incoterms traduisent les principaux termes utilisĂ©s par les opĂ©rateurs du commerce international. Elles sont donc un outil et non une obligation. Par consĂ©quent, il n'est pas nĂ©cessaire de remettre en question les contrats dĂ©jĂ  conclus. Dans une optique de sĂ©curisation de vos relations commerciales, l'utilisation des règles 2010 est toutefois recommandĂ©e pour les contrats Ă  venir

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